Partie admissibilité du BEPECASER

J'ai pas lû car il est tard et je vais me coucher, mais apparemment tout ce qu'on te conseille Holy comme exercices avant de faire des synthèses complètes ne t'intéressent pas, donc ça ne me motive plus à t'aider car j'ai l'impression que mon avis et mes conseils t'importent peu !

Pas du tout, au contraîre, j'ai imprimé tes avis et je me suis entrainée deux jours durant ( sans poster sur le forum ) et de là, j'ai voulu refaire une synthèse. En tout cas merci pour tes avis et ton soutien.

Tibou45 a écrit:moi j'y connais rien, mais je la trouve bien !! on attend l'avis des experts !

Merci Tibou

Kahouète a écrit:Mon plan avec les idées classées par colonne pour le sujet sur l'écosystème marin : https://i.servimg.com/u/f31/17/71/56/53/00110.jpg
Si jamais ça peut aider.
Par contre ça reste un brouillon, alors ne prêtez pas trop attention ni à l'écriture ni à l'orthographe

Ca va m'aider grandement merci.

cyberhornet a écrit:

holy1 a écrit:

Je peux te demander, si mon intro ressemble à mes plans, quelle est la différence entre les plans et l'intro au final ?

confonds pas l'annonce du plan et le plan avec les idées relevées dans les textes, ça a rien à voir !!!

ça c'est un plan de synthèse avec les idées des textes classées en 3 colonnes : [url=http://cyberhornet34.free.fr/divers/syntheses/an2000/plan.jpg

http://cyberhornet34.free.fr/divers/syntheses/an2000/plan.jpg[/quote[/url]] Merci merci !!

cyberhornet a écrit:J'ai pas lû car il est tard et je vais me coucher, mais apparemment tout ce qu'on te conseille Holy comme exercices avant de faire des synthèses complètes ne t'intéressent pas, donc ça ne me motive plus à t'aider car j'ai l'impression que mon avis et mes conseils t'importent peu !

Ca m'embête tellement ce que tu m'écris que je me reconnecte, et te dire que dès la semaine prochaine je ferai ce que tu me demandes. C'est à dire me concentrer sur la problèmatique du dossier et les cases des futurs plans voilà, j'espère te retrouver sur mes corrections et avoir tes avis précieux. Encore désolée

voici ma synthèse "les réseaux sociaux" réalisée en 2h (j'avais plus rien à dire...est-ce mauvais signe?)
j'ai tenté d'être plus concise tout en gardant les infos importantes. Idem, désolée pour la présentation qui ne correspond pas à ce que j'ai fait sur mon fichier word





Au sein de l’ère numérique, « les réseaux
sociaux font partis de l’histoire ». A travers ces sites, nous pouvons
communiquer, échanger des fichiers ou retrouver d’anciennes connaissances. Ils évoquent
la simplicité relationnelle dans une société devenue individualiste. Cependant,
il existe de nombreuses dérives sur la Toile accessible à tous. Comment ce
monde virtuel peut-il avoir des répercussions sur notre vie réelle ?


Dans un premier temps, nous
ferons un constat de la présence internationale de ce phénomène dans nos
foyers. Puis, nous en dévoilerons les dangers et nous étudierons les solutions
proposées pour les contrer.








Au début des années 90, l’apparition des Bulletin
Board Systems a permis de communiquer et d’échanger grâce au bas débit. Il s’agit
de la naissance des réseaux sociaux. Ils simplifient les échanges et créent des
communautés devenues grand-public. Aujourd’hui, tout le monde connait le site
Facebook de Mark Zukerberg, crée en 2004, facilitant les rencontres et les
relations virtuelles. Il rassemble plus de 500millions d’utilisateurs dans le
monde. L’expansion de cette ère « socialo-numérique » est en grande
partie dûe à l’évolution de la technologie avec les ordinateurs portables, les
téléphones mobiles ou récemment les tablettes numériques.

Il existe également des réseaux professionnels, des
plateformes d’entraide, à la recherche de bénévoles, de dons, d’emplois comme
Twin Time, de F.Braun, qui permet de mettre en avant des échanges de services
entre femmes.








Cette révolution sociale a cependant des aspects
négatifs et dangereux pour les internautes mais lesquels ?








Cet attrait virtuel attire dans un premier temps les
jeunes qui trouvent leur place au sein d’une communauté. En effet, ils font
partis de groupes, se créent un réseau d’ « amis ». Ainsi, ils ont l’illusion
d’exister et d’être important vis-à-vis des autres. Cette illusion les
transforme en accros du Web et ils passent alors de plus en plus d’heures connecter
causé par un besoin compulsif. Cette addiction au virtuel peut devenir extrême
et les conduire à un retrait de la vie réelle. On parle alors de « hikikomori »,
terme japonais.

Contrairement aux jeunes, les
séniors s’inscrivent pour lutter contre la solitude, un sentiment de vide et d’isolement.
Cette nécessité d’exister touche donc tous les âges.

Il est tellement facile de se faire des amis sur
Internet avec un simple clic qu’on se retrouve alors une liste de contacts se
comptant par centaines. On accepte des contacts que l’on ne connait pas et c’est
là que le danger s’immisce. On
peut voir la vie privée publiée sur un profil. La limite entre le public et l’intimité
est franchie facilement : des photos intimes, des opinions politiques, des
injures contre quelqu’un. Tout se retrouve sur la « place publique
numérique ». Aux USA, 40% des adolescents sont harcelés et certains vont
jusqu’au suicide suite à cette détresse.

Ce réseau planétaire est composé de simples
internautes mais aussi de personnes mal-intentionnées. On les appelle des
hackers. Ils volent nos données personnelles en piratant les comptes, en
envoyant un virus par l’intermédiaire d’un simple lien, en passant à travers
les systèmes de sécurité et de confidentialité. Cet ensemble de données est
ainsi utilisé de façon illicite et met en péril la vie privée des « propriétaires ».





Notre vie, que l’on pensait privée, devient
transparente et gardée en mémoire par un simple serveur. Comment mettre fin à
ce phénomène de surveillance ?








La Commission Européenne et la CNIL tirent la
sonnette d’alarme. Elles demandent une nouvelle réglementation pour améliorer
la sécurité des mineurs, premiers concernés et influencés par les réseaux en
ligne. Comme le dit N. KROES, « les jeunes ne comprennent pas toutes les
conséquences que peut avoir la divulgation en ligne de trop de détails de leur
vie privée ». Une charte, par NKM secrétaire d’Etat chargée de la
prospection de du développement de l’économie numérique, évoque la protection
des données personnelles numériques. Elle demande aux sites d’être plus
explicite sur l’accès aux données, de mieux gérer les fichiers et données
détenus, de faciliter le contact entre les utilisateurs et les administrateurs.









En conclusion, les réseaux sociaux ont grandi grâce à
la volonté d’échange et de partage dans le monde. Cependant, de nombreux
dangers sont apparus à cause d’une sécurité malheureusement minimisée et d’un
phénomène interactif prenant davantage d’ampleur. Ce dernier, étant devenu
international, est difficile à contrôler malgré des avertissements et des
réglementations.
Personnellement, je pense que
cette explosion virtuelle est une mode planétaire, à laquelle, je l’avoue, je
participe en vérifiant ce que je publie. Elle contre un monde individuel,
financier et en crise. Les réseaux sociaux sont pour la plupart gratuit, alors
pourquoi s’en priver ?

Moi j'adore surtout ta conclusion, c'est clair et on comprend où tu veux en venir. Bravo ! Nous avons le même sentiment sur l'opinon personnelle ^^

Maintenant c'est une "non-experte" qui te répond. J'attends la tienne avec impatience.



PS : moi aussi quand je copie mon texte pour le coller sur le forum, ça ne rend pas la même chose en terme d'esthétisme.

merci

en ce qui concerne ton travail, je dois avouer que je ne comprends pas trop la différence entre la 1ere et ta 2eme partie, pour moi elles vont ensemble.
par contre je trouve que tu as progressé sur le contenu qui comprend plus d'infos importantes et mieux formulées, comparé à ta 1ere synthèse sur l'éco marin

bulle80 a écrit:merci

en ce qui concerne ton travail, je dois avouer que je ne comprends pas trop la différence entre la 1ere et ta 2eme partie, pour moi elles vont ensemble.
par contre je trouve que tu as progressé sur le contenu qui est comprend plus d'infos importantes et mieux formuler, comparé à ta 1ere synthèse sur l'éco marin

La première partie est la résultante du danger, et la deuxième est le "marquage" des données partagées.

le marquage des données est un danger

bulle80 a écrit:le marquage des données est un danger

Donc toi ton second plan tu l'orientes sur quel sujet du dossier par ex ?

Edit : en relisant ta synthèse je vois que ta première partie tu l'orientes sur la création des premiers forums ! c'est bien pensé, c'est vrai que j'en parle absolument pas moi.

bah c'est écrit dans mon annonce de plan dans l'intro vla un détail si ca peut t'aider mais bon après chacun son plan, tant que tu le suis dans ton développement

1ere partie: l’évolution des réseaux sociaux dans le temps, l'importance dans notre société
2eme partie: les dangers avec les ados accros, les hacks etc
3eme partie: les solutions avec les chartes proposées

bulle80 a écrit:bah c'est écrit dans mon annonce de plan dans l'intro vla un détail si ca peut t'aider mais bon après chacun son plan, tant que tu le suis dans ton développement

1ere partie: l’évolution des réseaux sociaux dans le temps, l'importance dans notre société
2eme partie: les dangers avec les ados accros, les hacks etc
3eme partie: les solutions avec les chartes proposées

Oui oui j'ai édité mon poste juste après si j'avais annoncé une première partie comme la tienne, c'est à dire en présentant les premiers espaces des forums et autres réseaux sociaux, j'aurais eu une bonne synthèse je pense. Le défaut de la mienne est du fait que je répète le premier plan dans le deuxième.

Tu vas me trouvée crédule, mais je suis quand même contente de comprendre un petit peu chaque jour mes fautes. C'est comme ça qu'on avance après tout.

chacun part de son niveau et progresse à son rythme! c'est normal! ça se trouve on va me dire que ma synthèse n'est pas bonne lol
c'est en faisant des erreurs qu'on apprend

bulle80 a écrit:chacun part de son niveau et progresse à son rythme! c'est normal! ça se trouve on va me dire que ma synthèse n'est pas bonne lol
c'est en faisant des erreurs qu'on apprend

Arf, je suis d'accord, l'opinion diffère en fonction des attentes de chacun.

bravo à vous ! moi je parcours, les sites, les différents textes... un peu honte par rapport à vous car je ne suis pas encore à votre niveau, en ce qui concerne les synthèses, enfin pas du tout. On va dire que je suis en phase observation.

Tibou45 a écrit:bravo à vous ! moi je parcours, les sites, les différents textes... un peu honte par rapport à vous car je ne suis pas encore à votre niveau, en ce qui concerne les synthèses, enfin pas du tout. On va dire que je suis en phase observation.

Je me sens même pas dans ton "vous" tellement je suis à côté d'la plaque. Mais que penses-tu de nous entraîder ? je devrais faire comme toi comme le dit Cyber@ observer et m'entrainer à faire ressortir une problèmatique du dossier, avant t'établir des plans. Je le ferai dès la semaine pro sur un autre thème. Là j'ai juste envie de reposer ma tête lol

Pourquoi honte ? si ça s'trouve tu vas tous nous "battre" à ce petit jeu.

Moi je rentre en phase d’hibernation ce week end et je reviens plus en forme que jamais la semaine prochaine.
Ceux qui veulent s'entrainer à faire ressortir des problématiques, pourquoi ne pas le faire à partir de textes tombés pour l'oral de l'admissibilité ? Ca pourrait être intéressant, un texte, une page, une problématique, c'est tout de suite différent par rapport au décorticage d'un dossier de 12 pages...
Et il n'y a pas de raison d'avoir honte, des fois même les "bons" passent à coté d'un sujet.
( Pensez à me ressortir ma phrase quand je vous posterai une synthèse bancale )

yessssssssssss

Kahouète a écrit:Moi je rentre en phase d’hibernation ce week end et je reviens plus en forme que jamais la semaine prochaine.
Ceux qui veulent s'entrainer à faire ressortir des problématiques, pourquoi ne pas le faire à partir de textes tombés pour l'oral de l'admissibilité ? Ca pourrait être intéressant, un texte, une page, une problématique, c'est tout de suite différent par rapport au décorticage d'un dossier de 12 pages...
Et il n'y a pas de raison d'avoir honte, des fois même les "bons" passent à coté d'un sujet.
( Pensez à me ressortir ma phrase quand je vous posterai une synthèse bancale )

moi je veux bien qu'on fasse comme ça ! on voit ça lundi !!!

Lisez bien TOUS les documents AVANT de commencer, vous verrez que souvent 2 ou 3 grandes opinions en ressortent
(en général les POUR et les CONTRE), triez vite fait les documents en fonction de ces idées.

Pour gagner du temps il est déconseillé de faire un brouillon complet du texte
Faites quand même un brouillon de l'intro et de la conclusion car ces 2 parties sont cruciales.

Organisez un plan précis des parties sur une feuille blanche avec les idées et les sources
(ça évite de perdre du temps à les rechercher ensuite).

En écrivant sur votre feuille d'examen basez vous sur ce squelette puis liez les idées entre elles.
Ecrivez à la volée en prenant votre temps pour faire de belles phrases en vrai français...
Ca prend plus de temps mais moins que de tout réécrire...

imaginez que vous racontiez une histoire à un auditoire :

- expliquez leur d'abord de QUOI vous allez parler : le sujet, les grandes idées qui s'en dégage (nous verrons d'abord que... puis... enfin...)
- Chaque partie résumera une des idée dégagée dans l'introduction en prenant en compte tous les arguments récupérés dans les différents textes.
Pensez à citer les auteurs des articles ("telle idée" comme le souligne Martine Machin dans son discours du 18 septembre prononcé au Sénat)
- Faite une transition subtile entre les parties afin de montrer que les arguments avancés en première partie trouvent leur pendant avec des contre
arguments (ex : toutes ces idées communément acceptées par la majorité ne font toutefois pas l'unanimité. Nombre de spécialistes s'accordent même
à dire que...)
- Développez la deuxième partie de la même manière (synthèse des idées, citation des sources, mots de liaison...)
- puis entamez votre conclusion : résumé rapide des idées sans redévelopper et SURTOUT, SURTOUT, une conclusion personnelle dans laquelle vous
prenez parti, faite part de votre expérience personnelle et expliquez votre point de vue. Cela montre au correcteur : votre assimilation du sujet, votre
capacité à dégager des idées et à proposer une alternative. Bref que vous n'êtes pas des moutons mais des êtres dotés de capacités de réflexion.

Pensez toujours que vous racontez une histoire, ça aide à trouver une fluidité dans l'écriture et donne une cohérence à l'ensemble.

Gardez un petit temps pour la relecture et la correction des phautes d'ortografe :p et de la syntaxe.

ATTENTION : ce ne sont que des conseils, qui en aucun cas ne se substituent aux cours et conseils donnés par les professionnels dans vos centres de formation.
Toutefois j'ai suivi mes propres conseils et j'ai eu 15 à l'écrit à l'admissibilité.

Merci pour les conseils

Mais une petite questions on doit faire 2 parties ou 3 parties alors ? merci

Pas de réponse universelle Tibou.
En fait tu adaptes ton plan par rapport à tes documents ( et en particulier à la problématique que tu as posé ), certains dossiers vont t'orienter vers un plan en deux axes et d'autres iront plus vers un plan en trois axes.
Dans un sens c'est tout à fait logique : pour le moment on adapte nos plans à dossiers documentaires, plus tard on adaptera nos leçons à nos élèves

Kahouète a écrit:Pas de réponse universelle Tibou.
En fait tu adaptes ton plan par rapport à tes documents ( et en particulier à la problématique que tu as posé ), certains dossiers vont t'orienter vers un plan en deux axes et d'autres iront plus vers un plan en trois axes.
Dans un sens c'est tout à fait logique : pour le moment on adapte nos plans à dossiers documentaires, plus tard on adaptera nos leçons à nos élèves

oki merci

bulle80 a écrit:voici ma synthèse "les réseaux sociaux" réalisée en 2h (j'avais plus rien à dire...est-ce mauvais signe?)
j'ai tenté d'être plus concise tout en gardant les infos importantes. Idem, désolée pour la présentation qui ne correspond pas à ce que j'ai fait sur mon fichier word





Au sein de l’ère numérique, « les réseaux
sociaux font partis de l’histoire ». A travers ces sites, nous pouvons
communiquer, échanger des fichiers ou retrouver d’anciennes connaissances. Ils évoquent
la simplicité relationnelle dans une société devenue individualiste. Cependant,
il existe de nombreuses dérives sur la Toile accessible à tous. Comment ce
monde virtuel peut-il avoir des répercussions sur notre vie réelle ?

Dans un premier temps, nous
ferons un constat de la présence internationale de ce phénomène dans nos
foyers. Puis, nous en dévoilerons les dangers et nous étudierons les solutions
proposées pour les contrer.








Au début des années 90, l’apparition des Bulletin
Board Systems a permis de communiquer et d’échanger grâce au bas débit. Il s’agit
de la naissance des réseaux sociaux. Ils simplifient les échanges et créent des
communautés devenues grand-public. Aujourd’hui, tout le monde connait le site
Facebook de Mark Zukerberg, crée en 2004, facilitant les rencontres et les
relations virtuelles. Il rassemble plus de 500millions d’utilisateurs dans le
monde. L’expansion de cette ère « socialo-numérique » est en grande
partie dûe à l’évolution de la technologie avec les ordinateurs portables, les
téléphones mobiles ou récemment les tablettes numériques.

Il existe également des réseaux professionnels, des
plateformes d’entraide, à la recherche de bénévoles, de dons, d’emplois comme
Twin Time, de F.Braun, qui permet de mettre en avant des échanges de services
entre femmes.








Cette révolution sociale a cependant des aspects
négatifs et dangereux pour les internautes mais lesquels ?








Cet attrait virtuel attire dans un premier temps les
jeunes qui trouvent leur place au sein d’une communauté. En effet, ils font
partis de groupes, se créent un réseau d’ « amis ». Ainsi, ils ont l’illusion
d’exister et d’être important vis-à-vis des autres. Cette illusion les
transforme en accros du Web et ils passent alors de plus en plus d’heures connecter
causé par un besoin compulsif. Cette addiction au virtuel peut devenir extrême
et les conduire à un retrait de la vie réelle. On parle alors de « hikikomori »,
terme japonais.

Contrairement aux jeunes, les
séniors s’inscrivent pour lutter contre la solitude, un sentiment de vide et d’isolement.
Cette nécessité d’exister touche donc tous les âges.

Il est tellement facile de se faire des amis sur
Internet avec un simple clic qu’on se retrouve alors une liste de contacts se
comptant par centaines. On accepte des contacts que l’on ne connait pas et c’est
là que le danger s’immisce. On
peut voir la vie privée publiée sur un profil. La limite entre le public et l’intimité
est franchie facilement : des photos intimes, des opinions politiques, des
injures contre quelqu’un. Tout se retrouve sur la « place publique
numérique ». Aux USA, 40% des adolescents sont harcelés et certains vont
jusqu’au suicide suite à cette détresse.

Ce réseau planétaire est composé de simples
internautes mais aussi de personnes mal-intentionnées. On les appelle des
hackers. Ils volent nos données personnelles en piratant les comptes, en
envoyant un virus par l’intermédiaire d’un simple lien, en passant à travers
les systèmes de sécurité et de confidentialité. Cet ensemble de données est
ainsi utilisé de façon illicite et met en péril la vie privée des « propriétaires ».





Notre vie, que l’on pensait privée, devient
transparente et gardée en mémoire par un simple serveur. Comment mettre fin à
ce phénomène de surveillance ?








La Commission Européenne et la CNIL tirent la
sonnette d’alarme. Elles demandent une nouvelle réglementation pour améliorer
la sécurité des mineurs, premiers concernés et influencés par les réseaux en
ligne. Comme le dit N. KROES, « les jeunes ne comprennent pas toutes les
conséquences que peut avoir la divulgation en ligne de trop de détails de leur
vie privée ». Une charte, par NKM secrétaire d’Etat chargée de la
prospection de du développement de l’économie numérique, évoque la protection
des données personnelles numériques. Elle demande aux sites d’être plus
explicite sur l’accès aux données, de mieux gérer les fichiers et données
détenus, de faciliter le contact entre les utilisateurs et les administrateurs.









En conclusion, les réseaux sociaux ont grandi grâce à
la volonté d’échange et de partage dans le monde. Cependant, de nombreux
dangers sont apparus à cause d’une sécurité malheureusement minimisée et d’un
phénomène interactif prenant davantage d’ampleur. Ce dernier, étant devenu
international, est difficile à contrôler malgré des avertissements et des
réglementations.
Personnellement, je pense que
cette explosion virtuelle est une mode planétaire, à laquelle, je l’avoue, je
participe en vérifiant ce que je publie. Elle contre un monde individuel,
financier et en crise. Les réseaux sociaux sont pour la plupart gratuit, alors
pourquoi s’en priver ?

Bon, alors peut-être question bête mais, ce que j'ai mit en bleu, c'est la problématique ? Ensuite annonce des plans ?