Galères de moniteur auto-école

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Partie admissibilité du BEPECASER

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jensego
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Ven 5 Aoû - 19:41
bac +3 pour pas passer l'admissibilité ! quand même ^^ j'aurai dû continuer 1 an de plus à l'école >< !!
laurent
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Ven 5 Aoû - 19:47
Bonjour,

L'épreuve d'admissibilité est une épreuve incontournable du Bepecaser. Même avec un Bac +3.
A ne pas confondre avec l'épreuve de remise à niveau pour les candidats non titulaire d'un diplôme ... de niveau V

Laurent
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Ven 5 Aoû - 21:33
T'inquiète pas Jensego , pour ces épreuves d'admissibilité... elles ne font pas nécessairement appel à une certaine culture ou connaissances mais davantage à une méthodologie de travail à laquelle tu t'exerces déjà!

Ta motivation, ta persévérance et sans doute ta passion pour ce métier sont tes meilleurs armes! Personnellement, je suis convaincu que je suis fait pour ce métier, et je donnerai le meilleur de moi même pour y arriver.

Allez, courage !Le bonheur ,parfois, semble peu de choses Smile
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Ven 5 Aoû - 22:26
Ok c est pour ça que j avais mis " je crois"
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Sam 6 Aoû - 8:30
Moi je passe ce jeudi ,et j'avoue que je commence a stresser
je c'est pas trop comment me préparer a part faire des résumé de texte quelconque .
La partie avec le jury et les tests logique je pense m'en sortir mais "résumé discussion"...
Si vous avez une idée d'entrainement je prend !!!! bounce
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Sam 6 Aoû - 11:23
ce jeudi tu passes ? je pensais que c'était en novembre les épreuves ?
jefferson 33
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Sam 6 Aoû - 11:55
C est surement les tests d entrée en formation que Jojo doit passer cette semaine
La plupart des centres de formations en font
Laurent ,tu as bien raison il faut obligatoirement passer l admissibilité pour le bepecaser
J ai revu un de mes formateurs, il m a expliqué que quand ta le bac +3, tu ne fais pas ces fameux test d entrée; en tous cas à leurs centre de formation c est comme çà
En général, tu as une rédaction à faire et après un sujet tiré au hasard à développer à l oral
J étais tombé sur "l école" à l oral et un article de journal ou un avocat parlais de la récidive des délit routier à l écris
Donc à l oral tu as un peu de temps pour ta préparation et il faut expliquer "qu est ce que l école" pour toi puis après tu développe ton point de vue sur le sujet
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Sam 6 Aoû - 11:59
Et oui Jensego, l admissibilité, normalement tous le monde la passe en novembre

ça doit être pour tous le monde pareil
jensego
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Sam 6 Aoû - 12:42
voici ce que j'ai fait sur le texte de Draven


* Ce document est extrait d'un article paru le 12 Octobre 2006 par Jacques Guerin dans le journal hebdomadaire 'Le nouvel observateur' dont le titre est 'La vie d'après'.
Dans cette article, l'auteur nous raconte comment la vie de plusieurs personnes a basculé après un accident de voiture (la vie d'après).

_______________________________________
résumé :

* Dans une première partie, l'auteur nous décrit le contexte dans lequel s'est produit l'accident de voiture. Il nous présente "les victimes" et "le coupable" qui ce soir là avait trop bu et a provoqué un terrible accident (comme des milliers chaques années) suite à son taux élevé d'alcoolémie dans le sang.

Dans un second plan, l'auteur nous raconte la vie d'après pour les victimes (3 victimes, 2 bléssées et 1 morte) ainsi que le vie d'après pour Nelson, marié et père d'une petite fille, qui ne comprend toujours pas comment cela a pu se passer et qui attend son procès.

Enfin l'auteur, nous raconte comment s'est déroulé le procès. L'auteur nous indique que Nelson a eu une peine de prison (3 ans de prison dont 1 an ferme) et comment les victimes tentent de reprendre goût à la vie malgrè des séquelles physiques et mentales.

-------------------------------------------------
L'analyse critique avec formulation de votre point de vue personnel :

* Comme le dit l'auteur, chaques années des milliers d'accident se produisent. Ils sont dus à la vitesse, l'alcool, la fatigue..... et en quelques secondes, des vies et des familles sont brisées.

En ce qui me concerne, dans ce cas, je suis d'accord avec les victimes qui pensent que l'accusé à été condamné à une peine mineure. Trois ans de prison dont un an ferme pour avoir tué une personne (bien que involontaire) et avoir laissé des séquelles physiques et mentales aux 2 autres (pour l'accusé aussi d'ailleurs) c'est minime.
Je pense qu'une peine dite exemplaire ou plus sévère à l'encontre de Nelson aurait plus d'influence sur les "futurs chauffards". Cela inciterait les personnes à ne plus commettre d'excès en tout genre en ce qui concerne la sécurité routière.

Cependant, cet accident n'était bien évidemment pas volontaire. Comment lui en vouloir pour une chose qu'il ne voulait pas ?
Je pense qu'il faudrait aussi mettre en place plus de préventions sur la sécurité routière (publicité, sensibiliser les jeunes sur les dangers de l'alcool...par des personnes ayant vécu un drame ((comme c'est la cas pour Mélissa)) afin de limiter et éviter au maximum ce genre de drame.




J'ai dû mettre 35 min à lire le texte et écrire ça. IL y a encore pas mal de choses à dire mais je pense que si c'était le jour de mon épreuve, le reste se ferait en une discussion entre le jury et moi.





Dernière édition par jensego le Sam 6 Aoû - 13:40, édité 3 fois
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Sam 6 Aoû - 12:46
ah oui les fameux tests des centres lol
moi je suis allée dans un centre et il fallait corriger un texte avec des fautes et faire un résumé ^^
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Sam 6 Aoû - 13:34
Ton résumé, je le trouve bien mais si je me souvient bien, je crois qu il vaut mieux éviter les commentaires perso dans le résumé du texte
C est après quand tu prend position que tu donne ton avis
jensego
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Sam 6 Aoû - 13:37
ah en fait j'ai oublier de tirer un trait ^^ y'a mon résumé et après mon analyse, mon avis Smile
draven
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Sam 6 Aoû - 18:11
Beau travail Jensego Smile

Je te donne à mon tour le travail sur le fond que j'ai produit:

présentation :

La vie après, texte narratif tiré d'un hebdomadaire "le nouvel observateur" écrit par Jacques GUERIN , datant du 12 octobre 2006.

Intro + plan:

Mars 2003,Nelson , 22 ans, à plus de 145 km/h percute inévitablement 3 jeunes filles à bord d'un véhicule.Le choc est brutal, les conséquences désastreuses: 1 mort et 2 blessées ; il avait 1,85 g d'alcool dans le sang.Ce type d'accident, hélas, reste courant!Au vu de ce texte , on est en droit de se demander sur la valeur de la peine appliquée mais surtout comment pardonner et réapprendre à vivre car la vie continue pour autant...Nous tenterons d'y répondre en y montrant le dur retour à la réalité ( après l'accident) et enfin comment ,finalement ,revivre en surmontant les difficultés!


I: Un dur retour à la réalité:
idées maitresses: _ 8 mois d'hospitalisation (souffrance physique et psy car n'accepte pas son nouveau visage)
_prise de conscience de Nelson ( regrêt ...)
_ il est question de justice...


II: Se battre pour réapprendre à vivre:
-un dur retour sur les lieux du drame ( deuil difficile mais nécessaire)
_ sensibilisation sur la sécurité routière
_Le courage d'avancer

Analyse critique:

Bien des peines pénales devraient être lourdes de conséquences après de tels faits, en théorie.... Car, oui, ce type de peine ( 3 ans de prison dont un an ferme) reste "classique" .Les mesures phares de prévention et de répression actuelles sont en pleine essort puisqu'ils veulent même étendre aux infirmiers , la possibilité de procéder à une prise de sang permettant de vérifier le taux d'alcool ou la présence de stupéfiants à la suite d'un dépistage positif.Idem, le retrait de points pour un taux d'alcoolémie > 0,8 devrait passer à 8 points.


Conclusion:

L'alcool associé à la vitesse , là encore, sont les 2 principales causes de cet accident. C'est un fait, à partir du seuil (0,Cool , les risques d'accident sont multipliés par 8. Il faut poursuivre des efforts dans ce sens par la sensibilisation, etc...




Bon pour la conclusion, j'ai fais court Smile . Pour l'ensemble , je n'ai pas mis plus de 30 min,même moins je crois .Ceci dit c'est un sujet qui est à mon avantage puisque j'ai quelques connaissances dessus.Je m'informe beaucoup, j'adore apprendre etc...Bref, bientôt je publierai un autre sujet.
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Sam 6 Aoû - 18:21
Very Happy ah j'aime beaucoup ton travail aussi, la façon dont tu procèdes, moi mon texte je trouve que ça reste très scolaire.
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Sam 6 Aoû - 18:35
Merci c'est gentil comme tout Smile


l'essentiel dans ton travail c'est d'être rigoureuse, persévérante et surtout régulière!Et puis tu n'es encore qu'une jeune padawan lol Tu as compris la méthode on ne t'en demandera pas plus...

J'ai mis un article sur la loi LOPPSI II mais garde à toi, çà peut donner des vertiges et pire encore!
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Sam 6 Aoû - 18:42
une jeune padawan lol!

aller je vais voir ton article Very Happy
draven
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Sam 6 Aoû - 20:42
J'ai pas pu résister... je poste de nouveau un tout autre sujet , celui-ci , en vue d'une synthèse .Le dossier qui s'intitule "la crise de la civilisation du travail" n'est composé que de 5 documents.Il s'agit d'un annal de la session datant de 1996 . J'espère que ces documents seront suffisamment compréhensibles .Personnellement, ce n'est pas un sujet hyper intéressant ! A tester... Smile

Bon boulot!

1)


LA sociÉtÉ MODERNE DU TRAVAIL


La société du travail est I'autre nom de la société moderne... Au Moyen Age les hommes ne travaillaient qu'un petit mi-temps au plus, dans les sociétés primitives deux heures par jour en moyenne! En grèce seule la politique comptait, et les hommes libres, les citoyens' passaient léur temps, tout leur temps, à parler affaires de-la cité. La Grèce antique, nombre d'auteurs le soulignent, fut la civilisation la plus bavarde qui n'ait jamais été' La Rome antique quant à ellà réussit I'exploit inégalé danl la longue histoire de notre
humanité de compter jusqu'à 200 jours feriés par an. Si les sociétés primitives ont été les sociétés du < farnienté > véritable, la Rome antique, elle, fut la société des loisirs, la première et la seule société des loisirs qui ait vu le jour pour les hommes.

Dans les sociétés modernes, au contraire, jamais les hommes n'ont autant travaillé' 40,35 heures par semaine, cela peut paraître bien peu au regard des 12 à 16 heures par jour du XIXème siècle, 6 jÉurs pàr semaine et dès la prime enfance, mais ces horaires qui sont aujourd'hui les nôires, ce temps que nous passons à travailler, que nous considérons comme modéré ou en progrès par rapport à ce que vivaient nos grands -parents' et même nos parents, ne pouvaient être qu'une aberration pour un Romain ou pour un Grec,
quelque chose d'inconcevable, de proprement inhumain. Pour I'Indien aussi, une telle vie de travail était impensable. Les colons blancs en savaient quelque chose eux qui n'ont jamais réussi à mêttre les Indiens au travail. Les Indiens d'ailleurs préferaient se laisser mourir plutôt que de se s'enchainer comme le faisait le blanc à leur labeur quotidien.


Non seulement donc les hommes n'ont jamais autant travaillé et durement travaillé que dans les sociétés modernes, mais de surcroît jamais les hommes n'ont autant valorisé le travail que dans ces sociétés.

Culture, civilisation ou société du travail, cela ne signifie rien d'autre que ce qui fait sens et lien social, ordre et organisation, mais aussi héritage et avenir, réalité et utopie, etc...
dans nos sociétés modernes, c'est en tout premier lieu le travail, avant la politique, la religion ou la vie de famille. Le travail, la question du travail, se retrouve partout dans la société moderne. Il constitue le sous-texte ou I'horizon sur lequel s'inscrivent la cohésion de 1a société, la paix civile, les projets, la morale, la pédagogie, la légitimité sociale, la reconnaissance par autrui, la puissânce, le pouvoir, les politiques d'état,le rapport à la misère du mondè, les philosophies de I'histoire, les principales idéologies, les conflits
sociaux, le développement -ê-. des sciences humaines et sociales... et la liste n'est pas close. Le travail, a1ôrs qu'il était dédaigné, marginalisé, sans rôle fondateur ou structurant dans le passé de I'humanité, est devenu dans les sociétés modernes ce que nous appelons un < grand intégrateur >, le grand intégrateur spécifique de la modemité, au sens donc où les niultiples diLensions de la vie de chacun et de tous s'articulent et se réarticulent inévitablement dans la société moderne à partir de la question du travail.

Un grand intégrateur a pour fonction dans une société de donner une base commune, un référent premier, ou ultime aux actions et aux pensées des hommes de façon à ce que celles-ci aient rapport entre elles, prennent sens les unes par rapport aux autres, servent une construction, que celle-ci soit d'ordre existentiel et donc personnel ou d'ordre collectif. En d'autres termes, un grand intégrateur permet que les actions et les pensées des hommes aient un minimum àe cohérenie entre elles, même si cette cohérence doit être conflictuelle. Un grand intégrateur comme son nom I'indique intègre : il engage les multiples aspects ou activités humaines à s'adapter les unes aux autres en vue du bon fonctionnement du tout.

Si le travail donc en tant que grand intégrateur est bien une innovation ou une mutation propre à la société moderne, la notion ou la fonction de grand intégrateur elle, en revanche, n'est pas une invention qui caractérise la société moderne. La fonction de grand intégrateur est une constante anthropologique*. Elle est une nécessité, et I'humanité a connu au cours de son histoire de nombreux et différents grands intégrateurs. La < maisonnée > dans les sociétés primitives, la < polis >ou la citoyenneté antique des Grecs et des Romains, la foi chrétienne au Moyen Age sont autant d'exemples de grands intégrateurs qui ont eu leur temps de gloire aussi fortement que le travail, et qui passaient,
chacun à leur époque et dans leur contexte, tel le travail aujourd'hui, pour I'horizon indépassable de I'humanité.

Il faut se souvenir ainsi que la < polis > dans la Grèce antique non seulement légitimait le pouvoir et justifiait la guerre, mais elle inspirait également I'architecture,la tragédie, comme elle organisait la vie familiale, l'éducation, le rapport à I'argent, au commerce, et à la production matérielle et par conséquent le travail lui-même. C'est elle et non le travail, loin de là, qui était au fondement de I'ordre social, de la hiérarchie et des ségrégations
diverses dans la Grèce antique. De même que c'est elle et non une autre instance ou une autre activité -ou plus que toute autre instance ou activité -qui faisait partager une même vision du monde à I'ensemble des groupes sociaux et des existences individuelles.

Plus tard, au Moyen Age, ce n'est plus la citoyenneté, ce n'est pas davantage le travail, mais la foi chrétienne et elle seule qui marque de sa symbolique et qui encadre fermement de ses institutions bien temporelles, le droit, la politique, le pouvoir(qui vient de Dieu, et qui ne peut venir que de Dieu), mais aussi la connaissance, I'art, la sexualité et bien sûr les métiers. Au Moyen Age, le fait d'être mendiant, c'est-à-dire sans travail, n'équivalait nullement à une marginalisation ou à une exclusion. L'essentiel était de croire pour être
reconnu et accepté. Etre intégré au Moyen Age signifiait être chrétien, avoir la foi et la pratiquer, cofilme cela signifiait pour I'homme des sociétés primitives être d'une maisonnée, un point c'est tout, et comme cela signifie aujourd'hui être travailleur et rien d'autre, qu'on le veuille ou non.

Yves CHALAS

Extrait de la revue ( REPERES PROSPECTIFS )

Septembre 1995

* une constante des sciences qui étudient I'homme




2)

LA RUPTURE


Il se trouve qu'aujourd'hui nous assistons à une éclipse du grand intégrateur travail. Panne momentanée due à la crise économique et appelée à se résorber avec elle, ou au contraire signe d'un déclin inémédiable qui annonce la fin prochaine de la civilisation du travail?

Quoi qu'il en soit, les symptômes sont nombreux qui indiquent que le travail ne remplit pas ou de plus en plus mal sa grande et souveraine fonction de grand intégrateur. La destruction sans fin des emplois dans tout les domaines; y compris dans les services et non seulement dans la production industrielle et agricole, le développement du travail précaire et intérimaire,laréapparition de la grande pauvreté dans les sociétés les plus riches, I'instauration d'une société< plurale >,c'est-à-dire éclatée, par lamultiplication des statuts dans la population active (chômeurs de longue durée, chômeurs intermittents, précaires, stagiaires de toute sorte, préretraités, etc..), voire même d'une société < duale > par la division du monde du travail en un secteur privilégié et performant concernant un petit nombre de travailleurs -moins de 25 ans -et un secteur composé de travailleurs périphériques, ceux des nouveaux statuts, instables, multiples et conflictuels entre eux, sont les manifestations parmi d'autres de I'enrayement du travail en tant que grand intégrateur.

L'activité professionnelle dans le monde moderne est devenue, quand elle n'est pas purement et simplement absente, soit irrégulière, sous payée et mal reconnue, soit incertaine. Dès lors la question de la signification de I'activité professionnelle se pose pour tout le monde, pour les exclus du travail comme pour ceux qui se maintiennent encore à leur poste. Est-elle toujours synonyme d'épanouissement personnel et de réussite sociale ? Peut-elle être toujours considérée comme une source de dignité et de sécurité ?
Assure-t-elle seulement encore une identité ? Demeure-t-elle encore un support solide pour fonder un projet existentiel ? Et comment enfin I'activité professionnelle peut-elle développer un fort sentiment d'intégration et répondre par I'affirmative à ces questions ?

La crise au départ était économique, elle est devenue sociale, au sens où elle n'affecte non plus seulement l'économie mais lapérennité* même de la civilisation du travail. Et cette crise, profonde et décisive, parce qu'elle n'est rien moins donc que la crise du grand intégrateur travail lui-même, fondateur de la modernité, place nos sociétés devant une double béance, une double absence non seulement le travail ne < civilise > plus, n'acculture plus, ne socialise plus n'intègre plus, ou si mal et si peu, mais de plus rien ne
semble, pour le moment du moins, le remplacer dans ces tâches primordiales de
production et de reproduction du lien social. Ni la vie familiale, ni la pratique religieuse, ni I'attachement à une communauté d'origine, ni la participation à des mouvements associatifs divers, d'animation culturelle, d'activités sportives, de défense des consommateurs, de défense des usagers d'un service, de protection de I'environnement, de solidarité humanitaire, etc... en d'autre termes les multiples appartenances que I'individu peut vivre en dehors de la sphère du travail proprement dit, en dehors du bureau, et de I'usine et des préoccupations de carrière, ne sauraient constituer des alternatives crédibles,
pas même des palliatifs à I'intégration par le travail qui s'étiole.

* la continuité,la survie




3)

LE DÉCLIN IRRÉVERSIBLE DU TRAVAIL


Depuis un siècle, on constate que la réduction du temps de travail a été massive. .Sur I'année : En France, la durée annuelle de travail pour un salarié a été ramenée, depuis le début du siècle, de 3 000 à I 650 heures.

.Sur une vie : On est passé de 200 000 heures de travail à aujourd'hui 70 000 heures environ. Cette baisse est due aux tendances conjuguées de I'allongement de la scolarité, de I'abaissement de l'âge de la retraite, des congés payés, du travail à temps partiel et du chômage.

Derrière ces chiffres, il y a des évolutions concrètes. Le paysan du début du siècle travaillait toute sa vie, sans relâche à partir de 12 ans, 7 jours sur 7, (l'ouvrier 6 jours sur 7) pour une activité quotidienne de l0 à 12 heures. Le tout sans congés payés. Aujourd'hui, I'entrée des jeunes dans la vie active est repoussée à beaucoup plus tard : la moitié des jeunes de 16 à 25 ans est scolarisée, l'âge de la retraite survient de plus en plus tôt. Si l'âge légal de la retraite est fixé à 60 ans, à partir de 55 ans, 6 actifs sur 10 ne sont plus en activité.

De 60 milliards à 40 milliards...La chute de I'activité...

Depuis 1900, le nombre d'heures de travail global par an a diminué d'un tiers, passant de 60 à 40 milliards d'heures. Sans la réduction massive de la durée du travail, il n'y aurait aujourd'hui que 12 millions d'emplois (au lieu de22 millions).

En 1900, il y avait 19 millions d'actifs en France qui travaillaient entre 2 800 et 3 000 heures ptr ffi, soit une soûlme de 55 à 60 milliards d'heures de travail par an. En 1996, la durée moyenne d'heures de travail est de I 650 à I 700 heures pour 22 millions d'actifs, soit un total d'environ 37 milliards d'heures de travail... Notons que pendant le même temps, la production globale a été multipliée par 8 !

Extrait de la revue < Sciences-humaines > No59 -mars 1996


4)

LE SALARIAT EN MIETTES


En valeur absolue, le salariat en contrat à durée indéterminée (CDI) reste majoritaire (55% de la population active contre 2l% de précaires). Mais en flux, c'est I'inverse :70% des embauches de jeunes en 1994I'ont été à titre précaire, tandis que 1 million de CDI disparaissaient entre 1982 et 1990. Dans peu de temps les précaires deviendront majoritaires. Déjà, aux États-Unis, en lgg3,g}yodes emplois créés étaient de statut précaire ou à temps partiel, et plus de la moitié des actifs travaillent ainsi. Même tendance en Grande-Bretagne, où 14%des actifs travaillent en indépendants. En Espagne;,31Vodela
population active sont en CDD (contrat à durée déterminée). Seule I'Allemagne, où les syndicats restent puissants, affiche encore un faible recours aux CDD et au temps partiel.

Mais la forte pression des entreprises, notamment dans les Lander de I'Est, laisse présager, là aussi, une évolution vers la flexibilité. Douloureuse mutation. Le statut de salariat, recherché par les cinq millions d'individus qui en sont aujourd'hui exclus, n'a pourtant pas toujours fait rêver. < Au XIX ème siècle,
rappelle Robert Castel, sociologue et directeur d'études à I'EHESS, le salariat était la pire des conditions sociale. Il a fallu très longtemps pour passer de < I'indignité salariale > à un statut capable de rivaliser avec celui du travail indépendant et de la propriété. Le couplage revenu-protection sociale a été une innovation extraordinaire rendue possible par le passage du contrat de travail individualisé au contrat collectif. Or, le retour actuel à I'individualisation du contrat menace d'abord les plus vulnérables.

Extrait de la revue ( L'EXPANSION ) no506 bis -juiltet 1995


5)

PARTAGE DU TRAVAIL ET PLURIACTIVITÉ


Nous croyons nécessaire de réaffirmer tout à lafois l'exigence du plein emploi et de Ia pluriactivité. C'est-à-dire la nécessité de partager les emplois, et donc les revenus et les statuts qui en découlent, entre tous ceux qui veulent travailler, tout en reconnaissant que d'autres activités que le travail rémunéré mérite d'être valorisées socialement Dès lors que tous les citoyens partageront leur temps entre travail rémunéré, activités d'utilité sociale bénévoles non rémunérées, activités de production non monétaires pour soi-même ou ses proches, activités désintéressées, sportives, artistiques, culturelles, on lèvera toute ambiguité. On évitera le risque de voir ceux qui sont bien installés dans I'emploi jouer les belles âmes et conseiller aux autres de s'occuper intelligemment et de se rendre socialement utiles -en dehors de I'emploi...

Contrairement à ce que veulent faire croire les adversaires du partage du travail, personne aujourd'hui ne prétend défendre I'idée que la réduction de la durée du travail entraînerait mécaniquement une augmentation de I'emploi. Il ne s'agit pas de faire une règle de trois avec un volume d'heures de travail qui serait divisible par ladurée du travail moyenne pour donner le nombre d'emplois. Tout le monde est conscient que les salariés ne sont pas substituables les uns aux autres du jour au lendemain, que des problèmes complexes d'organisation du travail se posent à chaque changement des horaires de travail, que le
problème n'est pas du tout le même pour la production industrielle ou les services et plus généralement selon le type d'activités, etc. C'est pourquoi une négociation décentralisée est nécessaire pour introduire une réduction de la durée du travail créatrice d'emplois et pour discuter notamment des modalités de compréhension qui peuvent être differentes selon les niveaux de rémunération.

En Allemagne, grâce à la réduction négociée de la durée du travail, entre 1983 et 1992,le nombre de salariés à plein temps a augmenté de 6,5Yo bien que le volume du travail en heures n'ait augmenté que de 0,8oÂ. Contrairement aux années quatre vingt, la réduction de la durée du travail n'est négociée aujourd'hui que sous la pression de la montée du chômage. Au lieu de licencier pour réduire la demande de travail, il s'agit de diminuer la durée du travail en maintenant le même nombre de salariés. La seconde nouveauté consiste du côté des salariés à renoncer totalement ou partiellement à la compensation
salariale. L'Institut de recherche sur le marché du travail et les professions, qui est rattaché à I'Agence fédérale pour I'emploi de Nuremberg, estime que de 1983 à 1992,la réduction de la durée du travail a permis de sauver un million d'emplois à temps plein créés durant la dernière phase de croissance sont à mettre au compte des mesures de réduction du temps de travail >...

Trop souvent, on associe réduction du temps de travail à la réduction hebdomadaire de la durée du travail, ce qui justifie certaines critiques sur le caractère irréaliste du partage du travail, peu adapté par exemple à des tâches de responsabilité. En réalité, ceux qui ont fait un travail de lobbying important et nécessaire en faveur de la semaine de quatre jours, soulignent eux-mêmes, que quatre jours sur cinq, ce n'est pas tout le monde à 32 heures.
Pour certains, ( ce ne sera pas au niveau de la semaine, mais au niveau du mois ou de I'année que se concrétiserait le < 4 jours sur 5 > ici les semaines travaillées resteront de cinqiours mais les congés payés seront plus longs; là, on alternera des semaines longues et des semaines courtes. Pour d'autres encore, ce sera plutôt une année sabbatique tous les quatre ans... )

Quelles que soient les difficultés du partage de I'emploi,l'objectif du plein emploi ne peut être abandonné, sinon le risque serait grand d'établir deux catégories de citoyens :
ceux qui vivraient de leur emploi, ceux qui bénéficieraient sous forme ou sous une autre de I'assistance publique. On ne voit pas la possibilité de trouver rapidement un substitut à I'emploi qui remplit des fonctions multiples. Il permet tout à la fois d'accéder à un revenu, de bénéficier de garanties sociales et d'assurer I'autonomie individuelle. Il est à la base du contrat des obligations réciproques entre individu et société. L'emploi permet à chacun de contribuer à la production de biens ou de services dont I'utilité est reconnue socialement par une rémunération. Il garantit le statut et le pouvoir de chacun. Au contraire ceux qui bénéficieraient de manière permanente de I'assistance publique sous
une forme ou sous une autre seraient toujours menacés d'être considérés comme des parasites et de se voir couper leurs revenus.

Dans la mesure où le volume du travail rémunéré tend à diminuer, il faut donc multiplier les emplois en les répartissant sur davantage de têtes. Mais ce partage ne doit nullement être considéré dans une perspective malthusienne. En effet, la dynamique sociale à I'avenir doit reposer pour une grande part sur I'enrichissement individuel et collectif qui peut résulter du développement des activités hors-travail.

Emploi et pluriactivité

Parler de pluriactivité, c'est considérer que I'emploi est urne activité parmi d'autres. La notion d'activité voudrait souligner que I'individu se réalise en se mesurant aux autres, en surmontant des diffrcultés, en progressant dans la connaissance d'une technique qu'elle soit manuelle ou artistique, en réalisant un projet, en agissant sur son environnement social ou naturel, en se consacrant à des activités intellectuelles ou en contemplant la beauté de la nature ou des æuvres du passé et du présent. Activité s'opposent à la passivité de I'oisiveté forcée (< on est là toute la journée à ne rien faire, on fume, on boit,
on s'emmerde à tenir le mur de la cité pour pas qu'il tombe D), ou à celle de la
consommation. Par contre, nous rejetons I'opposition trop simple entre le temps contraint du travail et le temps libre du hors-travail. Le slogan < quatre jours de travail, trois jours à vivre > ne nous paraît pas pertinent, dans la mesure où < le travail > peut-être source de développement personnel et le loisir abêtissant. Chacune de nos activités est plus ou moins contrainte, plus ou moins libre. Et une société de pluriactivité doit s'efforcer de faire en sorte que toutes les activités contribuent à faire des citoyens les moins dépendants possible, que ce soit dans le travail ou hors-travai1...

Partager les emplois sera plus facile si l'on mène une politique des activités au lieu de se contenter d'une politique de l'emploi. Aujourd'hui, devant le coût, ou pour beaucoup, le vide du temps libre, les salariés sont le plus souvent réticents à réduire leur temps de travail. Si I'on veut favoriser le partage des emplois, cela suppose qu'on mène une politique du temps libéré. Cela signifie favoriser I'accès de tous à des loisirs peu coûteux par une politique publique d'aménagement de I'espace et du temps, qui ne laisse pas au marché la maîtrise de la situation...

Avoir une politique des activités signifierait que I'objectif prioritaire ne serait plus I'enrichissement économique, mais la possibilité offerte à tout un chacun d'avoir des activités sources de développement personnel et de participation au bien commun. Dans cette perspective, I'emploi n'est pas seulement le moyen de gagner sa vie, c'est aussi celui de développer ses capacités personnelles en ayant le sentiment de faire æuvre utile. Il ne peut alors être question de créer des emplois pour créer des emplois. L'accès à I'emploi pour tous est lui-même conditionné par le développement des activités non-monétaires
ou des activités non rémunérées d'utilité sociale, qui supposeraient I'encouragement du bénévolat et sa valorisation sociale.

Ces activités hors-emploi peuvent du reste rendre mois pénible aux chômeurs I'attente du retour du plein emploi. Les compétences requises pour participer à differentes activités sont à peu près les mêmes. La qualification sociale, dont les sociologues du travail nous parlent beaucoup actuellement, suppose capacité d'initiative, d'expression personnelle, d'intégration dans un groupe, etc. Or tout cela est susceptible d'être développé dans les activités sportives ou culturelles par exemple. Il est probable qu'un jeune n'ayant pas cette qualification sociale pour des raisons familiales ou d'échec scolaire, pouffa parfois aussi bien se récupérer en participant à des activités sportives, des activités théâtrales, des associations qu'en entrant dans une entreprise d'insertion. Il faut réfléchir sans trop d'apriori sur la contribution possible des différentes activités à I'intégration sociale.

Autrement dit, une politique d'intégration sociale devrait avoir la souplesse voulue pour ne pas concentrer tous les moyens sur I'insertion professionnelle, au risque de manquer constamment I'objectif et de favoriser par exemple les stages de formation parking. Il conviendrait au contraire de tenir compte de la diversité des milieux sociaux pour voir quelles activités il est plus opporfun à un moment donné de développer pour favoriser cette intégration sociale.

Guy ROUSTANG

Extrait de la revue ( ESPRIT >> nol2 -Décembre 1995
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Sam 6 Aoû - 21:01
y'en a du boulot, cool Very Happy
pour ma part lundi ou mardi je la rédige Wink
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Sam 6 Aoû - 21:14
Oui c'est vrai , davantage de boulot cette fois ci mais tu vas t'en tirer humblement jeune padawan que tu es! Smile

Un plan en 3 étapes serait de rigueur...enfin libre à toi de voir , il n'y a pas de correction type.Quant à moi, il faut que je fasse davantage d'effort sur la partie développement que j'ai tendance à un peu négliger...

Demain, j'essaierai un sujet intitulé : " les nouveaux hommes" ! 13 documents y sont consacrés, çà promet lol

Je dois être cinglé mdrr
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Sam 6 Aoû - 21:14
Oo bon je vais essayer de pas relire la synthèse de miss "17 décembre" qui m'a envoyé ses synthèses pour m'aider (car dedans y'a ce sujet ainsi que sa synthèse ^^)
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Sam 6 Aoû - 21:16
oula, 13 documents ---> tu vas devenir fou Very Happy

oui je vais essayer de m'en sortir maître Yoda lol!
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Sam 6 Aoû - 21:23
EUHH, YODA!!! Il est bien trop âgé... je préfèrerai mille fois le beau et jeune ewan Mc Grégor jouant le rôle de maitre "OBI -WAN KENOBI"

Je pourrai m'investir de ce rôle ,si comme toi , nous obtenons tous les 2 notre fameux césame pour enseigner! Ainsi, nous serons d'égal à égal!! Smile

Il va falloir que je me couche... je deviens bête et ridicule !
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Sam 6 Aoû - 21:26
lol! la fatigue se fait sentir, mais tu me fais bien rire Very Happy
maître OBI Razz
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Lun 8 Aoû - 19:07
(Intro)
Du moyen âge à aujourd’hui, le travail a bien évolué. Son évolution est incontestable et il est devenu indispensable, à tel point qu’on le retrouve partout.

Cependant, comment faire pour maintenir et créer plus d’emploi afin d’en faire bénéficier tout le monde alors que celui-ci ce fait de plus en plus rare ?

Pour commencer, nous présenterons l’évolution du travail, puis nous poursuivrons par la crise économique et ses conséquences. Enfin nous verrons quelles solutions ont été mises en place pour y remédier.


(I.)
Du moyen âge à aujourd’hui, les mentalités vis à vis du travail ont considérablement évoluer.

Au moyen âge par exemple les personnes ne travaillaient qu’un mi-temps et la Rome antique quant à elle, comptait jusqu’à 200 jours fériés par an. On l’appelait même ‘société de loisirs’ tant le travail n’y avait pas son importance.
Or depuis, le travail a changé.
Nous sommes passé de société de loisirs à société moderne où le travail est devenu très important. On n’a jamais autant travaillé et valorisé celui-ci. De nos jours, on le retrouve partout. Il apporte beaucoup d’avantages (source de revenu, liens sociaux, satisfaction personnelle…). Il est devenu tellement important que nous l’appelons « grand intégrateur ». Aujourd’hui, il n’est donc plus possible de vivre sans lui.


(II.)
Cependant, une crise économique s’est produite et il s’est produit une rupture avec le monde du travail.

Le travail ne rempli plus ses fonctions. Il devient difficile d’en trouver, il est souvent sous payé et l’on obtient de façon irrégulière. Si bien que la crise économique est devenue sociale. Les personnes veulent travailler uniquement pour une rémunération et tout le reste (familles, amis…) n’a peu ou plus d’importance. Les différentes causes peuvent s’expliquer par une diminution massique des emplois ainsi qu’une forte augmentation ‘d’actifs’ d’années en années.


(III.)

Or, des solutions existent pour y remédier

Une réduction du nombres d’heures de la durée du travail permettrait de ‘partager’ avec des personnes inactives et créerait donc automatiquement une augmentation de l’emploi. D’ailleurs en Allemagne cette méthode a été appliqué et le nombre de salarié a augmenté de 6,5% et a permis de sauver plus d’un million d’emplois. Par ailleurs, grâce à la réduction du nombres d’heures des salariés, cela pourrait inciter un développement des actifs pendant leur temps libre à faire du bénévolat et ainsi de se re valoriser socialement.


(Conclusion)

En conclusion, le travail a une place primordiale. On peut se passer et se sacrifier sur beaucoup de choses (sa familles, ses amis…) mais pas du travail pour des raisons économique en premier lieu. Mais celui-ci reste rare, et c’est pour cette raison que diverses solutions ont été mises en place dont en Allemagne pour en faire profiter un maximum de personnes et donc diminuer le chômage.


Mon avis : je suis trop fatiguée pour le dire, je vais manger !!



J’ai dû mettre entre 3H et 4H pour la rédiger (30 min ici, 30 min par là) mais je ne suis pas très satisfaite, car j’ai fait pas mal de paraphrase et je n’ai pas dû tout assez développer ….



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Lun 8 Aoû - 19:51
Coucou JENSEGO Smile

J'étais occupé à flâner sur le site, je viens de voir le travail que tu as fourni durant ce week end. En effet, tu es très rigoureuse et çà c'est un point très positif.

Tu as sensiblement bien compris le sujet et le plan en rapport au sujet est assez bien établi. Toutefois la problématique dans ton intro reste peu correct. On attendrait plus du genre" crise économique ou signe d'un déclin irrémédiable" ou encore "comment se passer du travail pour exister alors que le travail est justement la seule chose dont on ne peut se passer dans la société moderne pour exister..."

Des conseils pour progresser:

_Privilégie la lecture rapide (en diagonale) , pour ce faire, entraine toi sur n'importe quel texte, article dans le journal ( et essaie d'en retenir le max d'infos bien sûr Smile.Progressivement, tu verras , tu arriveras à trouver des plans à trouver d'un clin oeil l'idée maitresse ... Je suis devenu assez à ce jeu là . lol!
_ Les titres des sujets te donnent beaucoup d'infos, inutile de te précipiter sur les sujets , sans déjà avoir bien pris le temps de te poser les bonnes questions en lisant déjà l'intitulé .

_ aide toi de couleurs si çà peut t'aider davantage ( genre constat en vert, causes en bleu , solutions en jaune ) , tu auras vite fait de synthétiser sans erreurs.Essaie de faire des colonnes pour chaque documents traités avec ces couleurs, tu y verras peut être plus clair. Après tu peux faire tranquillement ton plan , ton intro.. etc

Je ne suis pas exempt de reproches, j'accepte aussi la critique.. alors crois moi tout ceci ne sont que des conseils avisés d'un apprenti Jeidi lol

Je te donnerai mon plan , mon intro etc...C'est promis!

Beau travail , t'es sur la bonne voie , je suis convaincu que tu y arriveras
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Lun 8 Aoû - 20:29
merçi des conseils !! , ça me permet d'avancer Very Happy

'je suis convaincu que tu y arriveras' ---> c'est gentil Razz
'


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